Poésies 4

Aux paresseux et profiteurs


La sagesse vaut mieux que des perles. Aucun trésor n’a autant de valeur



Chaque fois que tu as la possibilité, n’hésite pas à faire le bien à ceux qui en ont besoin. Serre la sagesse contre toi comme une femme aimée, elle te rendra grand et noble.

Toi qui est paresseux, va voir la fourmi observe son comportement et tires-en une leçon. Elle n’a ni surveillant ni patron : pourtant elle travaille sans relâche.

Qui amasse des provisions pendant l’été est un sensé, celui qui dort tout le temps mérite le mépris.

Paresseux qui se croise les bras, la pauvreté te surprendra comme un rôdeur.

Mieux vaut être de condition modeste que de se donner des grands airs et manquer de pain. Qui travaille a du pain, celui qui vit d’illusion manque de bon sens.

Les succès trop vite acquit disparaît vite, ceux qu’on amasse peu à peu ne cesse de grandir. Une chanson qui ne marche pas chagrine le cœur, le désir dans réaliser une autre est source de vie.

La paix de l’esprit favorise la santé, mais la jalousie est comme un cancer.

Des paroles aimables sont pareilles au miel, qui est agréable au goût et bon pour la santé. Mieux vaut manger en paix un crouton de pain sec dans sa maison, que de participer à un banquet avec des faux culs.

Un ami montre son affection en toute circonstance, un frère est là pour partager les difficultés.

Les profiteurs sont là pour critiquer, ils mangent, ils boivent sur ton compte mais en réalité ils ne te veulent que du mal. Ces buveurs et gloutons seront réduits à la misère à force de convoiter ton succès.

Si tu perds courage devant la difficulté ton courage est bien faible. Mieux vaut une critique franche qu’une amitié qui ne se manifeste pas.

Les reproches d’un ami prouvent sa loyauté, ses baisers sont parfois trompeurs. Celui qui se vante de chose qu’il n’offrira pas ressemble aux nuages et au vent qui n’amènent pas de pluie. Leurs dents sont comme des épées, leurs mâchoires comme des couteaux. Les promesses d’un sot est aussi dépourvu de force que les jambes d’un paralysé.

En conclusion : après avoir fait tant de chose dans ma vie, je me rends compte que les hommes on des désirs insensés, que les plus courageux dans les batailles ne remportent pas forcément la victoire, que tout ceux qui se prétende vos amis ne vous côtoye par forcément par amour mais plutôt par profit, et j’ai envie de vous dire qu’ensuite il ne reste plus qu’à mourir de toute façon pour tout à chacun, la seul justice de ce bas monde.